vendredi 23 janvier 2009


Bonne année 2009 à vous tous qui œuvrez pour la sécurité alimentaire.

Joignez vous à nous.

vendredi 12 septembre 2008

mardi 12 août 2008

Une reconnaissance internationale

En 2006, lors d'un voyage dans le département de Dogondoutchi au Niger pour faire une évaluation à mi-parcours d'un projet intitulé "projet de développement d'activités économiques et agricole dans le Dallol Maouri" pour Agro Sans Frontière, madame LAUBER, constatant la misère alimentaire des populations, a initiée une filière de pomme de terre, en remplacement de la culture de la canne à sucre existante. Les résultats ont dépassés les attentes, à tel point que des producteurs suisses de pomme de terre ont souhaités s'associer à cette initiative.
Voici le texte du protocole qui sera signé le 26 août:

Fait et signé au Château de Chillon, en deux exemplaires originaux, le 26 août 2008.

PROTOCOLE D’ACCORD de COLLABORATION

Relatif au soutien à un programme de développement
de la culture de pommes de terre au Niger

Le Président et le Secrétaire de l’APPNAL

Roger GERBER Jean-Marc CHOLLET

Les représentants d’Agro Sans Frontières
«Délégation ASF-Bretagne» Délégation ASF-Bourgogne»
Fernand LE DUC Hadjiratou LAUBER-DIALLO



2008, décrétée par l’ONU : Année internationale de la pomme de terre

Entre

L’APPNAL (Association des Producteurs de Pommes de terre Nouvelles de l’Arc Lémanique), dont le siège social est le Nipy, 1262 Eysins (Suisse), représentée par son Président, M. Roger GERBER, ainsi que son Secrétaire, M. Jean-Marc CHOLLET, ci-après désignée APPNAL,
D’une part,

Et
L’Association « Agro Sans Frontières », dont le siège social est 5 rue Voltaire, à PARIS 7ème, dont le Président est M. Gérard CROUAU, représenté ici par M. Fernand LE DUC, délégué de ASF-Bretagne ainsi que Mme Hadjiratou LAUBER-DIALLO déléguée de ASF-Bourgogne
D’autre part,

Il est convenu ce qui suit :

ARTICLE 1 :
ASF et l’APPNAL ont en commun le souci de contribuer à résoudre la crise alimentaire mondiale (actuelle et encore plus à venir) en soutenant l’amélioration et la diversification des productions vivrières dans les pays du Sud, notamment en Afrique.
Dans ce cadre, les deux associations décident de conclure un accord de collaboration afin de mettre en commun des moyens scientifiques, techniques et financiers, pour développer les activités agricoles au Niger, en particulier en contribuant à la « structuration de la filière pomme de terre » en partenariat avec des acteurs locaux dont l’ONG ARIDEL de Dogondoutchi, conformément au projet joint en annexe.

ARTICLE 2 :
Le projet pour l’année 2008-2009 (saison culturale d’octobre à mars) concerne la région de Dogondoutchi (Dallol Maouri) avec une extension à d’autres zones et comprend des actions de formation et d’organisation des producteurs, l’approvisionnement en plant, la construction et l’équipement de magasins de conservation.
Le budget prévisionnel est estimé à 78300 €.
L’APPNAL décide de soutenir ce projet à hauteur de Fr. CH 30'000.-, soit 18750 €, soit environ le 24% du budget estimé.
Cette somme sera versée sur le compte d’ASF-Bretagne, au Crédit Mutuel de Bretagne (RIB en annexe), dès la signature de la présente convention.

ARTICLE 3 :
Agro Sans Frontières s’engage à rechercher les financements complémentaires et à assurer la mise en œuvre du projet qui comprend principalement : des actions de formation, d’accompagnement technique, d’organisation, un appui à l’approvisionnement en semences, une aide à l’amélioration de la conservation et de la commercialisation (cf. projet).
Ce programme est réalisé sous la responsabilité de la délégation Bretagne d’ASF (ASF-B) présidée par Bernard JOUAN.
Sur place au Niger, le programme est conduit par la cellule ASF de l’ONG-Aridel, animée par Illia WAROU.
ASF-B (en collaboration avec Aridel) s’engage à :
mettre en place les actions prévues dans les délais adéquats ;
informer régulièrement les partenaires dont l’APPNAL du déroulement des actions ;
produire un compte-rendu technique et financier à la fin de la saison culturale (printemps 2009) ;
analyser les résultats et formuler des propositions pour poursuivre et /ou infléchir le programme.

ARTICLE 4 :
ASF et ASF Bretagne devront faire mention de ce soutien de l’APPNAL, au même titre que pour les autres soutiens reçus, dans les différents documents qui traiteront de ce programme.

ARTICLE 5 :
En cas de contestation ou de litige sur le contenu ou l’application de cette convention, les deux signataires s’interdisent tout recours à quelque juridiction que ce soit et déclarent par avance s’en remettre à l’arbitrage d’une personnalité choisie d’un commun accord.

vendredi 6 juin 2008

L’Afrique et les objectifs du millénaire pour le développement


COMPTE RENDU DE LA CONFERENCE DEBAT
ORGANISEE PAR
AGRO SANS FRONTIERE BOURGOGNE
Le 31 mai à la maison des associations de Dijon.

L’Afrique et les objectifs du millénaire pour le développement
Quel regard pour les associations bourguignonnes ?
Mme TENENBAUM et Mme LAUBER

Une cinquantaine de personnes a assisté à cette conférence.

Plus de vingt associations dont l’Autre Main, Sauvons le Climat, Club Solidarité lycée Hilaire de Chardonnet (71), A-LO-BON-SECOURS, Les Amis du Monde Diplomatique, Club UNESCO, Apprenons Bâtissons le Monde (89), Agir ABCD, JEREMI, MUSLIM HANDS, Association Malienne de Dijon, Euphorbe en Illabakan, Partenariat Nord/Sud Le Castel, Prisons sans Frontières (69), Oikocrédit, le D.U d'Action Humanitaire, AC César, ont participé aux travaux.

Monsieur Elie Sadigh, économiste, a fait une remarquable intervention en répondant à la question : « la mondialisation participe-t-elle à l’atteinte des Objectifs du Millénaire ? » pendant laquelle il a montré ses talents de vulgarisateur, insistant sur les politiques commerciales "inéquitables" menées par les pays riches empêchant la croissance des pays pauvres.

Madame Tenenbaum Adjointe au Maire de Dijon et Vice Présidente du Conseil Régional non seulement a fait l’honneur de sa présence mais son intervention a prouvé son attachement et ses connaissances de la solidarité internationale.

Les associations présentes ont témoigné de leurs actions et de leurs difficultés, insistant sur le plaisir de pouvoir échanger.

Madame Hadjiratou Lauber, l’animatrice de la journée, a elle-même témoigné, grâce à sa grande connaissance de l’Afrique de l’Ouest, de ses différentes expériences et des erreurs à éviter en mettant en place un projet. Elle a surtout insisté sur la nécessité, pour un plus grand succès de nos actions, de contribuer à l'émergence des sociétés civiles locales (groupements féminins, organisations communales, départementales de producteurs, comités de gestion des établissements scolaires, des cases de santé, des banques céréalières…)
Les dérives du codéveloppement ont été évoquées: si ce codéveloppement fait consensus dans les pays développés, il s’avère problématique pour les pays d’origine, car il conduit souvent à une modification des structures de pouvoir et de la gouvernance locale, ce qui provoque la contestation des élus. De plus les cultures africaines, basées sur la famille, écartent du bénéfice de cette coopération tous les groupes n’ayant pas de migrants. Les conséquences en sont évidentes.

De nombreuses interventions ont rappelé l'échec collectif face aux Objectifs du Millénaire. L'insuffisance du financement consacré à l'aide et à la recherche en est une. La stratégie de mendicité et de réprimande pratiquée par l'ONU n'a pas porté fruit : cinq pays seulement consacrent 0,7 % de leur PIB à l'aide au développement. La France n'est pas du nombre puisqu’elle est à 0,5 % et qu’une part importante des dépenses affectées à ce poste n’a rien à y faire.
Le débat final a fait apparaitre la nécessité de mettre en place une dynamique de convergence entre les associations, en effet les ONG bourguignonnes, n’étant pas regroupées en plateforme comme dans certaines régions, perdent énormément d’efficacité dans leurs actions (éparpillement, projets sans suite…) par manque de moyens financiers, d’experts et de présence sur le terrain.
Celles-ci ont décidées de se revoir courant juin pour mettre en place des groupes de réflexion

vendredi 2 mai 2008

CONFERENCE DEBAT samedi 31 mai 2008

ASF – BOURGOGNE
AGRO SANS FRONTIERE

CONFERENCE-DEBAT
L’Afrique et les objectifs du millénaire pour le développement
Quel regard pour les associations bourguignonnes ?

Samedi 31 mai
de 10h à 18h
maison des associations
2, rue des corroyeurs
21000 DIJON
PRESENTATION

Les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) ont été adoptés par la communauté internationale unanime le 08 septembre 2000 lors de l'ouverture de la 55ème session de l'assemblée générale des Nations Unies.
Les 191 états membres de l'ONU se sont engagés à réaliser ces objectifs d'ici à 2015.

L'AFRIQUE ET LES OBJECTIFS DU MILLENAIRE POUR LE DEVELOPPEMENT

Le point en 2008

A mi-parcours entre leur adoption en 2000 et 2015, date butoir de leur réalisation, l'Afrique subsaharienne n'est en voie d'atteindre aucun des objectifs du millénaire pour le développement.
En dépit d'avancées majeures dans plusieurs domaines et bien que la réalisation de ses objectifs reste possible dans la plupart des nations africaines, même les pays les mieux gouvernés du continent n'ont pas réussis à faire suffisamment de progrès pour réduire l'extrême pauvreté sous ses multiples formes.
RAPPEL DES OBJECTIFS

OBJECTIF 1 - Réduction de l'extrême pauvreté et de la faim
OBJECTIF 2 - Assurer l'éducation primaire pour tous
OBJECTIF 3 - Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes
OBJECTIF 4 - Réduire la mortalité infantile
OBJECTIF 5 - Améliorer la santé maternelle
OBJECTIF 6 - Combattre le VIH/sida, le paludisme et d'autres maladies
OBJECTIF 7 - Assurer un environnement durable
OBJECTIF 8 - Mettre en place un partenariat mondial pour le développement
ORDRE DU JOUR
10h00 à 10h30 ouverture de la journée

10h30 à 17h30 présentation des différents objectifs et débats

17h30 à18h00 pot de l'amitié

12h00 à 13h15 pause avec possibilité de restauration

Les discussions doivent permettre de faire la capitalisation des actions menées par les ONG bourguignonnes et la valorisation de celles ci.

LE RESTAURANT INTER ENTREPRISES DE DIJON 1er MAI ACCEPTE D’OUVRIR POUR NOUS A CONDITION QUE NOUS SOYONS AU MOINS 20 A MANGER.
(Repas à 17 €, vin et café inclus).
Pour réserver, veuillez appeler au: 06 70 92 94 40 avant le vendredi 23 mai
POUR TOUT RENSEIGNEMENT
POUR S’INSCRIRE :

ASF BOURGOGNE Mme Hadjiratou LAUBER
Tél: 06 70 92 94 40
Courriel:
agrosansfrontiere.bourgogne@laposte.net

lundi 14 avril 2008

Mourir de faim, à qui la faute ?

Bien évidemment, la hausse des prix, les biocarburants, la spéculation ... sont responsables de la crise alimentaire actuelle. Mais ce ne sont que des phénomènes périphériques. Les causes réelles sont ailleurs. Les responsables sont connus:

§ Les institutions internationales qui, pour faire réduire la dette des PVD, les ont obligés à abandonner les cultures vivrières pour des cultures d'exportations.
§ Les subventions agricoles européennes qui permettent d’inonder les marchés africains à prix bradés et qui entraînent la ruine des agriculteurs locaux. Selon Jean Ziegler, rapporteur spécial de l'ONU, " l' Union Européenne crée de la faim en Afrique par son dumping agricole".

Le Rapporteur spécial est aussi alarmé par l’augmentation des « réfugiés de la faim » qui tentent de gagner l’Europe et l’Amérique du Nord pour survivre et qui sont considérés comme des délinquants lorsqu’ils arrivent à destination quand ils ont la chance de ne pas mourir en chemin. Il a estimé qu’il est grand temps de renforcer les mécanismes de protection nationaux et internationaux en réaffirmant concrètement « le droit de se nourrir ». Les droits de l’homme ne sont pas uniquement politiques et civiques, a–t-il souligné, mais ils touchent aussi à l’économique, au social et à la culture. Jean Ziegler a estimé que l’Europe doit trouver une réponse autre que militaire pour repousser les miséreux à ses frontières. Il a proposé de créer un nouveau droit de l’homme –le droit d’accueil provisoire– qui protégerait les réfugiés de la faim », dont l’existence n’est actuellement pas reconnue dans les conventions internationales.

Pour réduire la faim dans le monde, pour diminuer l'immigration clandestine, la priorité des gouvernements, des collectivités locales doit être l'aide au retour des cultures vivrières. Agro Sans Frontière, qui s’est donné pour mission de porter une assistance agronomique aux populations et régions du monde qui ont des besoins alimentaires est à la disposition de tous, collectivités, ONG, pour mener à bien cette action prioritaire.

vendredi 18 janvier 2008

Thomas Dandois et Pierre Creisson toujours en prison, plus pour longtemps ?

Ce matin 18 janvier, Hadjiratou LAUBER a parlé avec Mme Hadja Fati TANDJA, l'épouse du Président du Niger. Cette grande dame, qui connaît très bien la France, sait faire la différence entre La France et les français et la politique du gouvernement et/ou des entreprises françaises.

Cette conversation, enregistrée à la demande de la Première Dame pour être écoutée par le Président a été très fructueuse et laisse espérer une conclusion très rapide et heureuse pour les journalistes français et espérons le, pour leurs collègues Nigériens.

Le Président TANDJA doit faire abstraction des conseils de ceux, dans son entourage, qui le pousse à garder les deux journalistes en prison, car se sont les mêmes qui le lacheront aux premiers problèmes. Le Président est un homme intelligent qui sacrifie toute son énergie au développement de la démocratie dans son pays. Il ne faudrait pas que tout soit remis en cause par des conseillers qui ne s'intéressent qu'à leurs pouvoirs.

Vendredi 18 11h: Nous venons d'apprendre la libération sous caution de Thomas Dandois et Pierre Creisson. Agro Sans Frontière remercie le Président Mamadou TANDJA pour sa volonté de garantir la justice et la démocratie dans son pays et nous espérons qu'il en fera de même pour ses deux compatriotes.

mardi 11 décembre 2007

Lettre aux maires

Nous venons d'envoyer par internet deux lettres aux maires des villes de plus de 5000 habitants de la région. La première reprend les objectifs nationaux d'ASF, la deuxième ci-dessous explique plus précisément ce que nous souhaitons faire dans la région Bourgogne.


Monsieur le Maire,


Venant d’être désignée déléguée d’Agro Sans Frontière pour la région Bourgogne, je vous prie de prendre acte de cette création et je me permets de vous présenter nos objectifs spécifiques.
Je dois d’abord me présenter :
Ingénieur Agronome en développement rural, diplômée d’un Master en gestion de projets de l’université de Rennes, j’ai travaillée pendant 12 ans avec le Ministère de l’Agriculture de Guinée, la Banque Mondiale, le FIDA, la Banque Africaine de Développement …
En 2006, 2007 j’ai initiée une filière de pommes de terre avec Agro Sans Frontière et mis en place une stratégie d’intervention du projet de développement communautaire, pour le Gref Bretagne/Tarbiyya Tatali dans le département de Dogondoutchi au Niger. A l’occasion de la semaine de la solidarité internationale, FR 3 a consacré lors du 19-20 du 19 novembre un reportage sur cette action.

ASF Bourgogne, bien qu’à ses débuts, est déjà composé d’agronomes, d’entrepreneurs, d’agriculteurs et de bénévoles de tous horizons. Nous avons comme priorité de nous investir dans une plus grande maîtrise de la problématique de l’immigration en permettant aux jeunes des pays en voie de développement de vivre et travailler dans leur pays, en ayant des revenus consistants. Pour cela, nous allons initier des projets de développement d’activités économiques et agricoles ou en réaliser à la demande d’associations, collectivités locales etc.…

Nous voulons que nos projets, dans la mesure du possible, ouvrent des marchés à des PME de la région Bourgogne.

Nous souhaitons également proposer à des jeunes Bourguignons de participer à nos missions : -soit pour mettre en pratique leurs connaissances théoriques pour acquérir de l’expérience,
-soit pour découvrir, par le travail, de nouveaux horizons,
-soit pour des étudiants leur permettre de faire leur stage pratique.

ASF ayant vocation de travailler avec ou pour des associations locales françaises, pour la formation, l’appui accompagnement, l’étude de projets, l’évaluation (ex post, ex ante, mi-parcours) etc.…je vous prie de bien vouloir communiquer notre existence aux associations de votre commune.


En espérant que notre engagement trouve un écho auprès de vous, des acteurs économiques et des administrés de votre commune, je vous prie de croire, Monsieur le Maire, à l’assurance de ma considération distinguée.


A Dijon le 10 décembre 2007,


Pour ASF Bourgogne,

Hadjiratou Emilienne LAUBER

vendredi 30 novembre 2007

NOS ENGAGEMENTS

Présentation et Contextes d'interventions

Les interventions d’ AGRO SANS FRONTIERE sont possibles grâce à l’action de ses adhérents et de ses partenaires qui nous en fournissent les moyens. L'action d’ Agro Sans Frontière est d’apporter notre appui technique agronomique à toute région du Monde présentant des difficultés alimentaires.Nous souhaitons poursuivre le travail démarré depuis 1993 et nous remercions toutes celles et tous ceux qui par leur aide, quelle qu’elle soit, nous permettront d’aller encore plus loin dans nos actions.

Au delà de l'aide alimentaire, L' APPUI TECHNIQUE reste une donnée FONDAMENTALE pour lutter contre la FAIM. Des milliers d'enfants, de femmes, d'hommes MEURENT de faim chaque jour.
Nous n'avons pas le droit de rester en dehors du Monde! Ni de refuser notre appui technique à un Monde en danger !

AGRO SANS FRONTIERE

recherche des solutions avec les compétences de Techniciens, Universitaires, Professeurs, Ingénieurs et autres......Le PROGRÈS passe par le développement des Potentiels Agronomiques dans le respect des contraintes et des particularités locales, techniques, économiques et environnementales.

AGRO SANS FRONTIERE
spécialisée dans les Sciences et Techniques du vivant peut
initier et accompagner ce développement. Notre association se veut, tout d'abord, être un lieu de RENCONTRES et d'ÉCHANGES pour tous ceux qui se préoccupent de la faim dans le Monde.Dans le cadre d'un projet global, nous mettons très rapidement, à disposition des organisations de développement, ou des territoriaux français et étrangers (villes, départements, régions) , des EXPERTS (techniciens, ingénieurs, professeurs, et autres....), disponibles, motivés, et expérimentés dans les divers domaines des sciences et techniques agronomiques.
Nous pouvons participer à L'ÉLABORATION et à la mise en place de projets concrets de développement et de formation.

NOS ACTIONS
- Formation (transfert de connaissances et de compétences)
- Diagnostic (définition des besoins et contraintes)
- Montages Techniques et Financiers des projets en relation constante avec les divers partenaires
- Mise en oeuvre de projets et Suivi en concertation avec les opérateurs techniques et économiques .

NOS ACTIONS SUBVIENNENT DANS DIVERS DOMAINES
- Sciences et techniques du vivant
- Techniques culturales
- Techniques et gestion des élevages- Amélioration des sols
- Irrigation et drainage
- Protection des végétaux
- Choix des techniques, des cultures et des élevages
- Valorisation, stockage, commercialisation des produits...

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